Christine Arnothy se souvient de son oncle médecin et philosophe lui disant, dans les ruines de Budapest, que les survivants de la guerre seront les proies du syndrome cannibale : dévorer les plus faibles. L’auteure, que l’écriture et l’amour ont sauvée, reconstitue le passé et rouvre les plaies dans une autobiographie ultime.
Les Années cannibales
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