La Servante et le catcheur

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La Servante et le catcheur

On le surnomme « le Viking », en souvenir de son passé de catcheur. Le bonhomme a vieilli et s’est reconverti dans la police. Nous sommes à San Salvador, dans les années 1970, la guerre civile ne fait pas de quartier et la torture est quotidienne. Un jour, la vieille Maria Elena vient demander un service au « Viking », qui fut jadis amoureux d’elle… Au coeur de ce roman sur le mal, dans toute son horreur mécanique, Moya unit la précision du détail à la puissance tragique, composant un livre éprouvant et admirable sur la haine ordinaire et la peur, dans un pays où chacun tente simplement de survivre jusqu’au lendemain. — Christine Ferniot

 

La Sirvienta y el Luchador, traduit de l’espagnol (Salvador) par René Solis, éd. Metailié, 240 p., 10 €.

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