La mort n’est pas une fin

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Elle est bien belle, la concubine qu’Imhotep a ramenée de son voyage dans le Nord. Mais elle n’est qu’une étrangère, et on ne l’aime pas. D’ailleurs, depuis qu’elle a ensorcelé le maître, rien ne va plus au domaine. Et ce démon va finir par décider de tout si l’on n’y prend pas garde. Il faut agir avant qu’il ne soit trop tard. Si elle venait à disparaître, le coeur d’Imhotep retournerait à ses fils. Il suffirait d’écraser le serpent, et tout redeviendrait comme avant. Est-ce bien certain ? Le mal vient-il seulement de l’étrangère ? On dirait qu’un poison intérieur ronge aussi la maison du maître…
Traduction nouvelle de Marie-France Franck.

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