Après Le Père de nos pères et L’Ultime Secret, le dernier roman de Bernard Werber, Le Rire du Cyclope, nous plonge dans les méandres noirs du petit monde de l’humour. Les deux personnages fétiches de l’auteur, la journaliste du Guetteur Moderne, Lucrèce Nemrod et son collègue Isidore Katzenberg sont de retour. Ils enquêtent cette fois sur la disparition du célèbre comique, Darius Wozniak, surnommé «le Cyclope», retrouvé mort dans sa loge. Un éclat de rire suivi d’un long silence, des témoignages trop affirmés… Mais de quoi est-il mort ?
Le rire y est symbole de pouvoir : tous cherchent la perle rare, la blague à laquelle personne ne résistera. Ce rire que Rabelais appelle «le propre de l’homme» est finalement le vrai héros du roman. Complexe et grinçant, il nous dévoile son histoire à travers les continents. Bernard Werber est même allé piocher sur son site personnel des blagues de lecteurs qu’il mêle à l’enquête scientifique.
Sciences, histoire, philosophie, numérologie, Werber l’enquêteur du futur dessine un univers aux frontières du virtuel et de l’étrange.
Source : Myboox
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