Cinq matins de trop

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Jeune instituteur dans l’Outback, au coeur de l’Australie, John Grant doit passer la nuit à Bundanyabba avant de s’envoler pour Sydney. Il dépose ses valises à l’hôtel, va boire un verre et jouer dans l’un des nombreux pubs de cette petite ville torride et poussiéreuse, où tout le monde s’ennuie… Cinq matins de trop nous fait vivre le cauchemar éveillé d’un homme ordinaire, qui devient peu à peu accro à l’alcool, au jeu, au sexe, à la violence, jusqu’à l’autodestruction.

D’une violence et d’une force peu communes, ce court roman ne se laisse pas oublier. S’y frotter, c’est s’y brûler. A. F., Lire.

Cinq matins de trop vous feront passer un vrai, un super sale moment. Christophe Donner, Le Monde 2.

Récit mi-amer, mi-émerveillé qui se savoure comme une bière, d’un trait, et sans modération. Astrid de Larminat, Le Figaro littéraire.

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