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Tous les vivants, le beau roman hanté de Jayne Anne Phillips , est l'un des livres phares de la rentrée étrangère de janvier. Au sein de laquelle les auteurs de langue anglaise s'imposent, ne serait-ce que par le nombre : de l'Australien Richard Flanagan et sa Route étroite vers le nord lointain auréolés du Booker Prize 2014 (éd. Actes Sud) au vétéran américain Bob Shacochis enfin de retour avec La Femme qui avait perdu son âme (éd. Gallmeister, lire Télérama du 23/12/2015), en passant notamment par Louise Erdrich (Le Pique-nique des orphelins, éd. Albin Michel), Adam Thirlwell (Candide et lubrique, éd. de L'Olivier), Kate O'Riordan (La Fin d'une imposture, éd. Joëlle Losfeld), Meg Wolitzer (La Doublure, éd. Rue Fromentin), et une foule de premiers romanciers à la tête de laquelle se distinguent Garth Risk Hallberg (City on fire, éd. Plon), Julia Pierpont (Parmi les dix milliers de choses, éd. Stock), Michèle Forbes (Phalène fantôme, éd. Quai Voltaire) ou encore un romancier canadien débutant, mais néanmoins célèbre, du nom de David Cronenberg (Consumés, éd. Gallimard).

Aux côtés des Anglo-Saxons, la mystérieuse – et très douée – Italienne Elena Ferrante (Le Nouveau Nom, éd. Gallimard), le Danois Jens Christian Grøndahl (Les Portes de fer, éd. Gallimard) et la star Haruki Murakami (Ecoute le chant du vent et Flipper, 1973, éd. Belfond) font déjà parler d'eux. — Nathalie Crom

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